Livre Blanc : La sensibilisation des collaborateurs à la sécurité informatique

Extrait du Livre Blanc : « La sensibilisation des collaborateurs à la sécurité informatique » :


Le facteur humain est un enjeu majeur de la cybersécurité en entreprise : faites de vos salariés les 1ers remparts de l’entreprise contre les menaces.


« Au cours des dernières années, la plupart des organisations ont installé des filtres anti-phishing avancés et des pare-feux, et déployé des outils spécialisés pour atténuer les cybermenaces. Les cybercriminels ont donc déporté une partie de leurs attaques directement sur les salariés, considérés comme un possible point d’entrée dans les systèmes informatiques.

Découvrez dans ce livre blanc les différentes techniques utilisées par les cybercriminels pour tenter d’infiltrer les entreprises en utilisant les faiblesses de leurs salariés, mais également les conseils de nos experts pour mettre en place des méthodes simples et pratiques à utiliser au quotidien.

1. Pourquoi une prise de conscience de la direction sur l’importance de la sensibilisation à la cybersécurité est-elle primordiale ?

Chiffres clés sur les cybermenaces ciblant les entreprises :

Selon une étude d’IBM, l’erreur humaine est impliquée dans plus de 90 % des incidents de sécurité (clic sur un lien de phishing, consultation d’un site Web suspect, activation de virus ou autres menaces persistantes avancées).


L’enquête réalisée en 2017 par Kaspersky Lab et B2B International² appuie ces conclusions. Selon ce rapport, l’utilisation inappropriée des ressources informatiques par les salariés est à l’origine des attaques subies par 39 % des organisations mondiales sur une période de 12 mois.

L’augmentation du nombre de cyberincidents provoqués par des erreurs humaines est surtout perceptible dans le secteur des Très Petites Entreprises (TPE) : en un an seulement, le pourcentage de petites entreprises (1 à 49 salariés) victimes d’une attaque impliquant une erreur humaine est passé de 25 à 32 %.

Plus préoccupant encore, près de la moitié des entreprises (entre 44 et 48 % 2 ) ne se sentent pas correctement protégées contre les menaces que font courir l’ignorance, la naïveté ou la malice de leurs propres salariés. »